Je voudrais être là-bas,
Loin de la fumée des vieux tacots qui crachent leurs poumons mécaniques,
Loin des regards accusateurs qui vous pointent d'un index rageur,
Loin des mots coupant qui fendent l'air froid des matins obscurs où rien n'est chaleureux,
Loin de pluie sale qui recouvre la vie d'un manteau froid et boueux ;
Je voudrais savoir écrire comme eux,
Eux dont les mots dansent une farandole poétique, une folle valse à plus d'un millier de temps,
Eux dont les pensées habiles paraissent évidentes et vérité,
Eux dont la folie et la sagesse ne forment qu'une seule voix qui retentit silencieusement jusque dans le tréfonds de ma pauvre cervelle.
Vendredi 4 juin 2010 à 16:23
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Vous aussi allumez votre étoile dans l'immensité de mon ciel.
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