Et cette furieuse empathie qui ne me quitte plus.
Laisse-moi souffrir pour toi, pauvre âme.
Moi qui ne crains plus ni la pluie ni le froid.
Tu as fais de moi un être de douleur et de souffrance.
Je croyais t'avoir converti à la tendresse.
Mais je m'étais trompée.
Eglaïa est terminé.
Que vais-je devenir ?
Je croyais t'avoir converti à la tendresse.
Mais je m'étais trompée.
Eglaïa est terminé.
Que vais-je devenir ?
Je te remercie pour tes charmantes méditations, elles apportent un peu de lueur à l'insondable noirceur de ma caverne. (nan, je m'en fous de Platon et sa caverne), espérant que cela reste un compliment.
Et, personnellement, j'aime mieux souffrir que pour moi-même.
Egoïsme, Egoïsme, toujours, je sais.
Au revoir,
Démonce.