Ca brûle, ça pique et ça déchire.
It.will.never.end.
Je dois me faire une raison. Cette douleur ne disparaîtra jamais totalement.
Je vais devoir vivre avec encore des années, sans doute. M'y faire, m'y habituer.
A force, je pense que je ne la sentirais plus, sauf dans mes moments d'amère solitude.
Ce matin, j'ai eu envie de revoir son visage. Ton visage.
Mais les photos de toi que je n'ai pas effacées, je les ai brûlées.
Grand bien m'en fasse, je ne pourrais plus m'infliger ce doux supplice.
Tu as réussi ta vie, je pense. Entre ta belle gueule, et ton bagou...
Sans doute aussi étais-tu doué pour ce que tu faisais.
Si ce n'était pas des mensonges, ça aussi.
Ca me rassure, d'un sens.
Ca signifie, pour moi, que si je te croisais un jour, je ne risquerais pas de m'abaisser à m'appitoyer sur ton sort.
Je me demande si tu m'as cherché, comme la dernière fois. Si tu te questionnes sur ce que je peux devenir,
Si tu te demandes si j'ai cicatrisé, si je m'en remets, si ça m'a détruit ou pas, si j'y pense encore.
Je me demande si tu y penses encore.
Le plus étrange, c'est que ce n'est pas une histoire de jalousie.
Je voudrais juste pouvoir retrouver, pour quelques heures, celle que j'étais avant toi.
Ca brûle, ça pique et ça déchire.
It.will.never.end.
C'est laid, sous la peau, ça fait une bosse.
Ca suinte et ça dégouline, ça colle.
C'est dégoûtant.
Alors je le cache.
Mais trop tard, ils sont déjà au courant. Ils ont tous vu ma plaie béante.
Ils se sont repus de ce pitoyable spectacle
Lorsque, ramassant les lambeaux de mon coeur déchiqueté, je courais me terrer dans l'ombre.
Il y a un vide qui ne sera jamais plus comblé.
Es-tu satisfait ?
Tu as laissé une trace indélébile que moi, je n'oublierai pas.
*
Pourquoi, chaque fois que j'y suis presque,
Un rêve vient frapper mon inconscient et renverser mes fragiles barricades ?
It.will.never.end.
Je dois me faire une raison. Cette douleur ne disparaîtra jamais totalement.
Je vais devoir vivre avec encore des années, sans doute. M'y faire, m'y habituer.
A force, je pense que je ne la sentirais plus, sauf dans mes moments d'amère solitude.
Ce matin, j'ai eu envie de revoir son visage. Ton visage.
Mais les photos de toi que je n'ai pas effacées, je les ai brûlées.
Grand bien m'en fasse, je ne pourrais plus m'infliger ce doux supplice.
Tu as réussi ta vie, je pense. Entre ta belle gueule, et ton bagou...
Sans doute aussi étais-tu doué pour ce que tu faisais.
Si ce n'était pas des mensonges, ça aussi.
Ca me rassure, d'un sens.
Ca signifie, pour moi, que si je te croisais un jour, je ne risquerais pas de m'abaisser à m'appitoyer sur ton sort.
Je me demande si tu m'as cherché, comme la dernière fois. Si tu te questionnes sur ce que je peux devenir,
Si tu te demandes si j'ai cicatrisé, si je m'en remets, si ça m'a détruit ou pas, si j'y pense encore.
Je me demande si tu y penses encore.
Le plus étrange, c'est que ce n'est pas une histoire de jalousie.
Je voudrais juste pouvoir retrouver, pour quelques heures, celle que j'étais avant toi.
Ca brûle, ça pique et ça déchire.
It.will.never.end.
C'est laid, sous la peau, ça fait une bosse.
Ca suinte et ça dégouline, ça colle.
C'est dégoûtant.
Alors je le cache.
Mais trop tard, ils sont déjà au courant. Ils ont tous vu ma plaie béante.
Ils se sont repus de ce pitoyable spectacle
Lorsque, ramassant les lambeaux de mon coeur déchiqueté, je courais me terrer dans l'ombre.
Il y a un vide qui ne sera jamais plus comblé.
Es-tu satisfait ?
Tu as laissé une trace indélébile que moi, je n'oublierai pas.
*
Pourquoi, chaque fois que j'y suis presque,
Un rêve vient frapper mon inconscient et renverser mes fragiles barricades ?
...Sakki Matsudai...