Sous ce ciel de poussière, sous ce ciel de cendre,
La ville s'étend, morne et sale.
Les gens se pressent, dégoulinants de gris,
La ville s'étend, morne et sale.
Les gens se pressent, dégoulinants de gris,
ils s'engouffre dans les bus, dans les trams, dans les taxis.
Ils fuient la pluie.
La pluie qui lave les trottoirs gras,
Qui frappe aux fenêtres aveugles...
Ils fuient le vent.
Le vent qui fait battre les manteaux,
Le vent qui hurle, hurle, et que personne n'écoute.
Ils fuient la pluie.
La pluie qui lave les trottoirs gras,
Qui frappe aux fenêtres aveugles...
Ils fuient le vent.
Le vent qui fait battre les manteaux,
Le vent qui hurle, hurle, et que personne n'écoute.
Et dans ce vacarme de fin du monde,
s'élève le chant d'un oiseau.
très sympa ton écrit.
eh oui la pluie, le temps gris , font que les gens se pressent de trouver un endroit ,un abris, dans l'attente du retour d'une ensoleillée éclaircie au coeur d'un ciel joyeux, sans pluie.
A+ du troubadour Emmanuel