Il pleut.
Beaucoup.
Depuis longtemps.
Dans mon coeur et sur mes joues, même topo.
Il pleut à torrent.
Il pleut à n'en plus finir.
Déjà une heure que l'eau tombe.
Il y a ces jours sans toi, mon ami,
Il y a ce cauchemar où j'étais seule,
Il y a cette chanson qui tourne sans cesse,
Il y a ce brouhaha, ce flou permanent,
Il y a ce froid et cette brusque solitude...
Il y a le temps qui passe,
Qui s'en fout.
Le mal qu'il peut faire,
Le vide dans le coeur,
Le rythme trop lent des secondes.
Le temps se fout de tout.
Beaucoup.
Depuis longtemps.
Dans mon coeur et sur mes joues, même topo.
Il pleut à torrent.
Il pleut à n'en plus finir.
Déjà une heure que l'eau tombe.
Il y a ces jours sans toi, mon ami,
Il y a ce cauchemar où j'étais seule,
Il y a cette chanson qui tourne sans cesse,
Il y a ce brouhaha, ce flou permanent,
Il y a ce froid et cette brusque solitude...
Il y a le temps qui passe,
Qui s'en fout.
Le mal qu'il peut faire,
Le vide dans le coeur,
Le rythme trop lent des secondes.
Le temps se fout de tout.
Une autre heure passe.
Et la pluie continue de tomber.
Le ciel est crevé et deverse sur ma campagne son eau froide.
J'ai froid.
Tellement froid...
Reviens...
Tu ramèneras le soleil sur cette terre inondée...
J'appelle, j'espère.
La nuit tombe déjà.
Et la pluie n'a pas cessé.
Je voudrais sortir, m'offrir en pâture à ce désolant spectacle.
La pluie, le vent.
Frigorifiée, trempée, j'existerais.
Je n'ai plus la force d'être en colère,
Même plus la force de pleurer.
Je voudrais exprimer quelque chose qui ne sort pas.
La porte est fermée à clé.
Je n'arrive plus à penser.
Il n'y a que le martèlement de la pluie sur le carreau.
Et rien d'autre.
Que le vide.
Je suis seule.
Bien trop seule.
J'ai peur.
Et j'ai encore froid.
Please, come back home...
Only You can bring back the Sun...
J'ai froid.
Tellement froid...
Reviens...
Tu ramèneras le soleil sur cette terre inondée...
J'appelle, j'espère.
La nuit tombe déjà.
Et la pluie n'a pas cessé.
Je voudrais sortir, m'offrir en pâture à ce désolant spectacle.
La pluie, le vent.
Frigorifiée, trempée, j'existerais.
Je n'ai plus la force d'être en colère,
Même plus la force de pleurer.
Je voudrais exprimer quelque chose qui ne sort pas.
La porte est fermée à clé.
Je n'arrive plus à penser.
Il n'y a que le martèlement de la pluie sur le carreau.
Et rien d'autre.
Que le vide.
Je suis seule.
Bien trop seule.
J'ai peur.
Et j'ai encore froid.
Please, come back home...
Only You can bring back the Sun...
...