Hope and Pain.
Regret, poor misled devil...
petrouschka
Je ne connais pas les mots qui guérissent un coeur.... [ Message pour le monde... S'il vous plait, répondez... Est-ce que mon code est correct ? Mon monde tourne-t-il correctement ? System all green. Communications interrompues. ]*
Jeudi 20 mai 2010 à 16:10
Hope and Pain.
Regret, poor misled devil...
Dédié à ceux pour qui la vie n'est plus qu'un cri.
Lundi 31 août 2009 à 12:45
Quel somptueux carnage que tout ce temps perdu à faire semblant d'y croire,
ne serait-ce qu'un peu...
Quel goût amer a donné le temps passé à cette histoire d'une autre époque,
d'une autre vie...
Quelle macabre symphonie que celle de nos mille soupirs qui s'enfuient,
s'éparpillent aux quatre vents pour mourir loin d'ici,
loin de nous,
loin du temps...
Et derrière tes nombreux silences se cache une envie de partir avec eux.
Alors va,
Je ne suis personne pour te retenir,
Alors va,
Je ne t'empêcherai pas de partir,
Alors va,
Je suis fatiguée de tout ça.
Fatiguée de ces efforts que tu ne vois même pas.
ne serait-ce qu'un peu...
Quel goût amer a donné le temps passé à cette histoire d'une autre époque,
d'une autre vie...
Quelle macabre symphonie que celle de nos mille soupirs qui s'enfuient,
s'éparpillent aux quatre vents pour mourir loin d'ici,
loin de nous,
loin du temps...
Et derrière tes nombreux silences se cache une envie de partir avec eux.
Alors va,
Je ne suis personne pour te retenir,
Alors va,
Je ne t'empêcherai pas de partir,
Alors va,
Je suis fatiguée de tout ça.
Fatiguée de ces efforts que tu ne vois même pas.
J'ai besoin de détruire pour me construire...
Vendredi 7 novembre 2008 à 10:16
Vivre ou exister...?
On peut vivre sans exister,
mais l'inverse me parait nettement moins réalisable.
Vivre, pour moi, se résume aux actions les plus élémentaires chez l'être humain :
Dormir, manger, communiquer, se déplacer.
Tandis qu'exister dispose d'une nuance, une portée plus spirituelle :
J'existecar je pense, j'existe car je ressens,
J'existe par rapport aux autres au sein d'un groupe
(Famille, amis, dans le cadre d'une classe, d'un groupe ehnique, dans la société dans sa totalite...).
J'ai le pouvoir, de par mon existence, de prendre des décisions,
de faire des choix dans des domaines qui me concernent et me préoccupent.
L'existence apporte une autre dimension au simple fait de "vivre", épuré de réel sens, sinon scientfique.
Elle apporte une profondeur propre à chacun,
Un aspect spirituel et psychologique.
On peut vivre sans exister,
mais l'inverse me parait nettement moins réalisable.
Vivre, pour moi, se résume aux actions les plus élémentaires chez l'être humain :
Dormir, manger, communiquer, se déplacer.
Tandis qu'exister dispose d'une nuance, une portée plus spirituelle :
J'existecar je pense, j'existe car je ressens,
J'existe par rapport aux autres au sein d'un groupe
(Famille, amis, dans le cadre d'une classe, d'un groupe ehnique, dans la société dans sa totalite...).
J'ai le pouvoir, de par mon existence, de prendre des décisions,
de faire des choix dans des domaines qui me concernent et me préoccupent.
L'existence apporte une autre dimension au simple fait de "vivre", épuré de réel sens, sinon scientfique.
Elle apporte une profondeur propre à chacun,
Un aspect spirituel et psychologique.
Voter, c'est exister.
Prendre postion, c'est exister.
Rire, pleurer,
aimer, haïr, c'est exister...
Le point de départ de ce raisonnement fut cette chanson :
Yamapi - Gomen ne juliet
Elle est, pour moi, de ces chansons qui nous font fermer les yeux,
Juste pour les ressentir encore plus ;
De ces chansons que l'on écoute en souriant,
Sous la pluie ou sous le plus grand soleil ;
De ces chansons qui nous font trembler le coeur,
Encore, aussi, souvent...
Bref.
En l'écoutant, je me suis demandé :
Wouah ! Cette chanson, quand je l'écoute, je me sens...
Vivre ou exister...?
Mercredi 8 octobre 2008 à 16:38
Au fond, nous sommes peu de choses...
[ Edit du 4/11/2010 :
Vous avez raison. Il est temps de faire le ménage, ici.
Tant de choses ne sont plus vraies...
To create a new world. Right from the start.
When there was nothing.
Nothing but a light. ]
Plus le coeur à penser, encore moins pour se dire qu'après tout,
c'est peut-être de notre faute s'il fait si sombre, si froid,
qu'on y est peut-être pour quelque chose si le soleil ne brille plus...
Non.
L'être humain n'est pas logique.
Il se fait du mal tout en refusant de le reconnaître.
Sommes-nous?
Ne sommes-nous pas?
En fin de compte, qu'est-ce que ça change?
Il est temps de se rendre compte que nous ne serons jamais les maîtres du monde.
Et que la course aux étoiles n'aboutira à rien.
Je ne dirais pas "nous sommes perdus",
que tout est joué d'avance,
Parce qu'on en sait rien.
Il faut essayer, comme dirait l'autre.
Alors essayons.
Une fois encore.
Petrouschka,
qui voudrait encore être une petite fille...