ne serait-ce qu'un peu...
Quel goût amer a donné le temps passé à cette histoire d'une autre époque,
d'une autre vie...
Quelle macabre symphonie que celle de nos mille soupirs qui s'enfuient,
s'éparpillent aux quatre vents pour mourir loin d'ici,
loin de nous,
loin du temps...
Et derrière tes nombreux silences se cache une envie de partir avec eux.
Alors va,
Je ne suis personne pour te retenir,
Alors va,
Je ne t'empêcherai pas de partir,
Alors va,
Je suis fatiguée de tout ça.
Fatiguée de ces efforts que tu ne vois même pas.