Au coeur d'une soirée sans inspiration aucune, ce commentaire de WacsiM.
Je l'aime bien, WacsiM. Il est vraiment gentil. Intelligent. Quand on part à discuter, si on prend un bon départ, on peut continuer longtemps.
Il écote du bon en plus.
Et j'aime tellement sa façon de penser...
Et son commentaire m'a donné l'inspiration, l'étincelle dans le noir.
Et ça fait du bien...
Les gens mauvais agissent par interêt, stupidité, par orgueil.
Et ces c*nneries sont tellement enfouies en chacun de nous,
qu'au fond on les comprend, on les voit...
Parfois on se dit : "faut oser, c'est vraiment ignoble !"
Alors qu'on pense : "il a eu le cran, le con, mais au moins, il a ce qu'il veut ! Comme je l'envie !"
Tandis que les bons...
On a souvent du mal comprendre les motifs nobles,
Bien qu'on clame le contraire, forcément.
Pour en revenir à WacsiM (non, je ne l'appelerais pas "Maxime", parce que Maxime, c'est quelqu'un d'autre.),
C'est drôle comme on peut rester longtemps sans se parler,
puis d'un seul coup, ne plus s'arrêter.
J'en viens à t'attendre, juste comme ça, pour rien.
Ou plutôt pour beaucoup.
Pour un conversation qui apporte beaucoup, et puis l'envie d'écrire.
Pour une fois je le dis : je t'apprécie.
Allons, on a beau prôner la solitude, trouver une présence dans la touffeur du soir,
C'est si plaisant.
On se sent moins différents, ou encore plus éloignés du monde.
Et j'aime ça.
Tergiverser des heures, parler de tout, de rien,
du livre d'un tel, de ton texte, notre style,
"les élucubrations de deux "écrivains" en peine."
Pas vrai?
Une vraie thérapie de groupe, à deux !
Je perds ici ce voile mystérieux qui me couvrait alors.
Mais qu'importe.
Il retombe déjà.
Aujourd'hui, enfin, je fus moi...